L’un des principes de base de i.d & l est de chercher à prolonger la durée d’utilisation des PC, cette démarche ayant un effet direct sur la chaine de production puisque, de fait, elle réduit la demande, donc la production, et par conséquent les impacts négatifs sur l’environnement et les hommes. La page informatique durable décrit plus en détail certains de ces impacts.
Dans son livre blanc de janvier 2010, Longue vie aux ordinateurs, longue vie aux internautes, l’association Renaissance numérique traite du reconditionnement des ordinateurs en tant que « urgence sociale et environnementale », et explique pourquoi et comment celui-ci est un vecteur formidable de réduction de la fracture numérique qu’elle définit comme « une inégalité face aux possibilités d’accéder et de contribuer à l’information, à la connaissance et aux réseaux, ainsi que de bénéficier des capacités majeures de développement offertes par les technologies de l’information et des communications (TIC). »
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Le 22 avril est traditionnellement la journée mondiale de la terre , célébrée pour la 1ère fois en… 1970 ! Plus de 500 millions de personnes dans 184 pays s’impliquent par leur réflexion et des actions concrètes pour faire quelque chose pour notre planète.
C’est peut-être l’occasion d’envisager de porter ce « vieux » téléphone portable ou ce PC vraiment trop vieux dans un centre de recyclage ? La première difficulté est souvent de savoir où se trouve un tel centre dans les environs proches. Le site recyclage-informatique.net saura peut-être vous apporter une réponse !
Il n’y a plus qu’à ! Ne faites cependant pas le déplacement en voiture juste pour ça…
Selon le site Green IT.fr, si chaque utilisateur recyclait 1 seul téléphone hors d’usage, une économie de 240.000 tonnes de matière première serait réalisée.
Dans son magazine « à Toulouse » d’avril 2010, la ville rose s’intéresse aux logiciels libres. Bonne nouvelle, mais pas réellement une surprise, en fait.
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Parmi ces informations intéressantes, je retiens notamment le commentaire de Jean-Paul PLA, conseiller municipal délégué à l’Économie sociale et solidaire, qui dit très justement à la page 31, je cite : «Tout le monde devrait être informé que l’échange des savoirs est gratuit. Les logiciels libres véhiculent cette valeur. Pourtant, ils demeurent peu connus et souffrent d’une mauvaise image : ils semblent peu adaptés et compliqués. Il faut casser le mythe. […]»