Un Programme de Gestion Intégrée pour un artisan ?

On peut s’intérroger sur l’utilité d’un logiciel de gestion intégrée pour un artisan, un indépendant, une TPE, etc… « On s’en sort très bien avec un tableur ! ».

Le tableur, par exemple Calc d’Open Office ou Excel de Microsoft, c’est le couteau suisse de la bureautique. Il dispose d’un joli éventail de possibilités et, dans bien des cas, il dépanne sérieusement, au point qu’on s’en accomode souvent au quotidien.

Mais dès qu’il s’agit de pousser les fonctionnalités, on atteint rapidement ses limites, et finalement on bricole avec son canif, on fait avec, on s’adapte… Mais la scie, ou le tire-bouchon ou même la « grande » lame du couteau suisse ne peuvent se comparer à l’usage avec une vraie scie égoïne, ou un tire-bouchon ou un couteau professionnel.
Et dès qu’on y vient, à l’outil professionnel, on s’ouvre des possibilités hors de portée jusqu’alors, voire même insoupçonnables !

De même, le tableur ne sera pas adapté pour réaliser les opérations poussées, et surtout intégrées, d’un programme de gestion intégrée (PGI).

Alors qu’est-ce que ce PGI apporte de plus que le tableur ?

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Libre, gratuit et de qualité ?

Pour beaucoup un logiciel libre c’est un logiciel gratuit.

Ça s’explique en partie parce que, en anglais, on appelle ça un « freeware », dont le « free » a un double sens. Celui de libre, mais aussi celui de gratuit. Mais encore, et probablement surtout parce que de très nombreux logiciels libres sont également gratuits…

Mais un logiciel gratuit, un « graticiel » comme on le voit parfois écrit, n’est pas nécessairement libre. En fait, ça n’a pas grand chose à voir, d’autant qu’un logiciel libre peut être payant !

Libre, parlant de logiciel, c’est une notion liée réellement aux libertés fondamentales, celles d’expression, de circulation… enfin toutes ces libertés qui paraissent si naturelles et évidentes et dont on se rend compte de la valeur, de l’impérieuse nécessité, quand on nous en prive !

Ceci dit, pour beaucoup, toujours, la gratuité est associée à une qualité plutôt faible : si c’est gratuit, ça ne doit pas valoir grand chose…

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A propos du « greenwashing »

Avec la « vague verte » déclenchée par la problématique du réchauffement climatique dont les médias se sont emparés il y a quelques mois maintenant, quels sont les constructeurs informatiques (et autres !) qui n’avancent plus des arguments « écolos » pour mieux vendre leurs produits ?!

Le « green » est bien un argument de vente comme un autre, et d’ailleurs ce n’est pas réservé au matériel, on voit le même comportement de la part d’éditeurs de logiciels.
Ainsi, Microsoft prétendait en son temps que Vista était “le système d’exploitation le plus efficace d’un point de vue énergétique″ qu’ils aient développé… Effectivement, des efforts avaient été faits dans la gestion de la consommation électrique induite par le système. Cependant, selon la société Softchoice, Vista nécessite un processeur 243% plus performant que XP, qui nécessite lui même un processeur 75% plus puissant que Windows 2000… Et on s’en doute, la consommation d’énergie d’un processeur 243% plus puissant est supérieure à celle d’un processeur plus ancien.

Ajoutons à cela qu’environ 50% du gros milliards de PC dans le monde auraient été bons pour la benne, incapables de faire fonctionner Vista (mais Linux si !)… Quant à “7”, laptopmag Site en anglais a montré que des portables tenaient de 33 à 57 minutes de plus en autonomie sur leur batterie lorsqu’ils sont sous XP… 7 est donc plus énergivore que XP.

Cette introduction un peu longue pour aborder le greenwashing.

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